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Sidoine ou la dernière fête

Montréal, Leméac, 1993

Le lecteur est transporté à l’époque de la chute de l’Empire romain, le dernier empereur, un adolescent d’à peine quinze ans, Romulus, surnommé par dérision Augustule – le petit Auguste – ayant été déposé par le Germain Odoacre en 476. Mais déjà depuis longtemps, Rome n’était plus dans Rome ; deux augustes, l’un à Ravenne règne sur l’Empire d’Occident, l’autre à Constantinople, sur l’Empire d’Orient. L’Afrique, une bonne partie de l’Espagne et de la Gaule échappent au contrôle de l’Empire, qui ne s’étend plus guère qu’à l’Italie, l’armée romaine se compose pour l’essentiel de mercenaires barbares, le trésor public est vide. Tout se délite, une société meurt.

 

Ce roman est le troisième et dernier tome du Tryptique des temps perdus.

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